L’écologie serait-elle un prétexte à un totalitarisme vert ? [vidéo]

La philosophe Bérénice Levet dénonce avec force le « totalitarisme vert » des nouveaux écologistes et plaide pour une écologie des sens et de la gratitude. S’il est difficilement concevable aujourd’hui de ne pas être « favorable à l’écologie », existe-t-il des façons alternatives de l’être ? Le 9 juin, l’Institut Ethique et Politique a reçu Bérénice Levet pour un dialogue sur l’essentiel d’exception. A ses côtés, Stanislas de Larminat, Bertrand Vergely et Philippe de Saint-Germain.

Pour écrire ce livre,Bérénice Levet a souhaité explorer le monde des écologistes; notamment celui des personnes qui dirigent Europe-Ecologie-Les Verts. Beaucoup sont issus de la génération des années 70. Un grand ressentiment contre la civilisation occidentale qu’ils connaissent mal. qui les pousse dans l’idéologie des exigences de reconnaissance et de visibilité des identités qui vient des Etats-Unis. Ils se conçoivent en chargé de mission du nouveau monde, et veulent une révolution basée sur l’urgence climatique, urgence climatique qui empêche de se poser la moindre question.

Pour dialoguer, trois experts associés de l’Institut Montalembert :

• Bertrand Vergely
• Stanislas de Larminat
• Philippe de Saint-Germain