» Le 15 Avril dernier, lorsque Notre-Dame a brûlé, pendant quelques heures, dans ce monde qui désacralise tout, la France a connu un élan du cœur proprement sublime. Soudain, comme la rosée du matin, un peu de sacré a refait surface au milieu des flammes de l’enfer. Durant quelques heures, on a cru que la postmodernité était sauvée. Les Français sont capables de voir Notre-Dame bruler sans se réjouir ni proclamer sur Twittercomme cette militante de l’UNEF désavouée par sa direction qu’ « elle s’en balek ». Que nous sommes naïfs ! C’était sans compter ce que la psychanalyse appelle « l’après coup ». » (…)
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